La quête de sens est une aspiration qui trouve un écho puissant dans une culture du travail qui valorise la réalisation de soi. Ainsi, certains professionnels peuvent avoir des attentes élevées au sujet du sens et de la satisfaction qu’ils espèrent retirer de leur activité. Dans certains cas, la confrontation avec le travail réel crée une dissonance cognitive. L’individu se retrouve alors piégé dans une quête incessante de sens, sans jamais parvenir à une satisfaction durable ou à une compréhension claire de ce qu’il cherche véritablement.

  • Comment construire du sens au travail ?
  • Comment les émotions façonnent-elles l’expérience du travail ?
  • Les « bullshit jobs » sont-ils le symptôme de la perte de sens ?
  • Quelles questions se poser pour savoir si son travail a un sens ?
  • Quelles sont les raisons d’une impasse existentielle ?
  • Quelles approches alternatives permettent de trouver un sens à sa vie professionnelle ?
  • Comment trouver un sens à son travail lorsqu’il en est dépourvu ?

Je me propose de répondre à ces interrogations dans cet article à télécharger en PDF.

Chaque semaine, je vous apporte de robustes connaissances issues des sciences cognitives, science comportementale contextuelle, sciences affectives, et de la sociologie des organisations, pour vous aider à mieux comprendre les comportements humains au travail. 

Références de l’article :

Nota bene : Cet article s’articule autour de l’examen minutieux de publications scientifiques et d’ouvrages de référence, constituant ainsi le socle de mes analyses et réflexions. Cependant, malgré mon engagement en faveur de l’exactitude et de la rigueur, il est important de reconnaître qu’il n’est pas à l’abri de potentielles erreurs de composition, de compréhension ou de traduction.

[1] Dewey, J. (1938). Experience and Education. New York: Macmillan Company.
[2] Camus, A., (1985). Le Mythe de Sisyphe. Folio Essais
[3] Frankl, V., (2013). Découvrir un sens à sa vie. InterEditions
[4] Seligman, M. E., (2012). Flourish. Atria Paperback.
[5] Dejours, C. (2016). Situations du travail. Presses universitaires de France.
[6] Clot, Y. (2015). Le travail à cœur. Pour en finir avec les risques psychosociaux, Paris, France : La Découverte.
[7] Hochschild, A., R., (2017). Le prix des sentiments Au cœur du travail émotionnel. La Découverte, Paris,
[8] Gaulejac (de) V. (2011). Travail, les raisons de la colère, Paris, Seuil
[9], Graeber D. (2018). Bullshit Jobs, Paris, Les Liens qui libèrent.
[10] Walo, S. (2023). ‘Bullshit’ After All? Why People Consider Their Jobs Socially Useless. Work, Employment and Society, 37(5):1123-1146
[11] Grant, A. M. (2007). Relational job design and the motivation to make a prosocial impact. Academy of Management Review, 32(2), 393-417.
[12] Brief, A. P., & Nord, W. R. (1990). Meaning of Occupational Work. Toronto: Lexington Books.
[13] Dutton, J. E., & Heaphy, E. D. (2003). The power of high-quality connections. In K. S. Cameron, J. E. Dutton, & R. E. Quinn (Eds.), Positive organizational scholarship. Berrett-Koehler.
[14] Amabile, T. M., & Kramer, S. J. (2011). The progress principle: Using small wins to ignite joy, engagement, and creativity at work. Harvard Business Press.
[15] Deci, E. L., & Ryan, R. M. (2000). The « what » and « why » of goal pursuits: Human needs and the self-determination of behavior. Psychological Inquiry, 11(4), 227-268.
[16] Clot Y. (2010). Le travail à cœur, La Découverte.
[17] Wrzesniewski, A., LoBuglio, N., Dutton, J. E., & Berg, J. M. (2013). Job crafting and cultivating positive meaning and identity in work. In A. B. Bakker (Ed.), Emerald Group Publishing Limited.
[18] Rosso, B. D., Dekas, K. H., & Wrzesniewski, A. (2010). On the meaning of work: A theoretical integration and review. Research in Organizational Behavior, 30, 91-127.
[19] Bandura, A. (1977). Self-efficacy: Toward a unifying theory of behavioral change. Psychological Review, 84(2), 191.

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RESPIRE : Je bouge, donc je pense. Je respire, donc je suis. (Editions l'Harmattan 2021)Voir